Orion I: la Tradition Primordiale

Le tome premier de ces trois ouvrages traite de nos d couvertes sous l'appellation
Orion et la Tradition Primordiale. Pour nos lecteurs, il ne fait de doute qu'un immense pactole culturel tale ces fondements sur la surface de la n cropole de Gizeh en gypte. Invisible aux regards et parfaitement ignor e d'une g n ralit de nos contemporains, cette d couverte fait depuis peu l'objet d' tudes s rieuses, lesquelles pourraient remettre en question les fondements m me de l'histoire que l'on nous enseigne. Il est question d'une science cach e de caract re trange, h ritage probable d'une civilisation lointaine, dont la tradition dite «
Primordiale remonte plus de 12 500 ans de notre re.

Par le gigantisme de ses oeuvres, l'originalit de son art et la profondeur de sa mystique, l' gypte Antique lance un d fi notre monde contemporain. Plus que jamais, cette ancestrale civilisation interpelle l'esprit, le corps et l' me. Ne lui pr tons-nous pas le don d'harmoniser ses infinit s de myst res et d'apparences, pour les lever des moeurs ent n br es de la Terre la vo te toil e des Cieux ?

Pour nous les modernes «
omniscientes cr atures du futur, elle est au mieux un paradoxe de l' volution. Mais, pour quelques tres veill s, elle n'est pas seulement une nigme de l'histoire, elle est une raison d'esp rer en la nature humaine. L' gypte des pyramides que nous nous appr tons d couvrir, n'a pas pu se r aliser elle-m me, on l'a fond et des mill naires durant, elle est rest e fid le ses initiateurs primordiaux. Elle les nommait «
Tepi-aoui-qerr-en-pet ou plus commun ment les N terou ou Akerou, c' tait au premier temps «
Zep Tepi , selon toute vraisemblance, sous l' ge du Lion. Ils furent suivis par «
les shemsou Hor ou les suivants d'Horus (Horus est le fils d'Isis et d'Osiris).

Quels taient ces myst rieux pr curseurs, ces veilleurs de conscience, ces tres «
lumineux et v n rables que nous sugg rent les textes ? Pour mieux saisir le caract re peu conventionnel des th mes que nous allons aborder, il nous faut tenter d'expliciter l'esprit en lequel les Anciens gyptiens concevaient leurs repr sentations graphiques. Si nous nous attardons sur les fresques et autres bas-reliefs qui s'offrent notre regard profane, nous constatons que le panorama est plat, d muni d'ombres port es et que la succession des plans fait d faut. L' gyptien de la haute poque faisait donc appel sa m moire visuelle pour ordonnancer et compl ter son approche iconographique.